Ça roule avec DALLAIRE !

Au petit déjeuner de décembre, en un peu plus d’une quinzaine de minutes, Nicole DALLAIRE nous a fait voir comment vivre l’hiver le mieux possible. D’emblée, elle a annoncé qu’elle allait explorer une analogie tout au long de son exposé: on se prépare pour l’hiver comme on le ferait pour une automobile. Et cette analogie a tenu le coup jusqu’au bout, offrant une part d’humour à une suite de conseils qu’on écoute le plus souvent avec un peu de culpabilité. Suivez le fil de sa pensée.

1. Pour l’hiver, notre auto a besoin de bons pneus ; nous, on a besoin de chaussures de marche adéquates pour combattre le froid, pour ne pas glisser.

2. Notre moteur à nous, c’est le système cardio-pulmonaire. Il faut le faire marcher. Prendre des marches d’une demi-heure, trois fois par semaine, c’est la meilleure façon de l’entretenir en bonne forme et nos poumons s’habituent à aller au froid. On s’habille en multicouche, c’est notre antigel. Surtout, allons-y molo, au froid, c’est plus dur pour les articulations. On part en douceur et on respecte son rythme de croisière.

3. L’essence, ça en prend pour faire rouler une auto. On doit donc nourrir notre organisme, et ce, de plusieurs façons. Pour une promenade, on s’apporte une barre tendre, un jus… Le soleil, c’est de la vitamine D, ça aide à absorber le calcium. La vitamine C, qu’on trouve dans les fruits et les légumes pas trop cuits, stimule l’organisme, insuffle de l’énergie. Cependant on ne sait pas toujours ce qui est bon pour nous. Alors on peut se documenter. Le bon docteur BÉLIVEAU est une référence en ce domaine.

4. Les températures froides extérieures assèchent. En plus, souvent on surchauffe l’habitacle de l’auto, comme on le fait dans notre maison d’ailleurs. Tout cela favorise la grippe. Idéalement, on dispose d’un sirop physiologique (en parler avec le pharmacien) en cas d’incommodité légère. Il faut également boire beaucoup d’eau et humidifier nos milieux de vie.

5. Un dernier point enfin : comme on ne peut imaginer une auto sans phares, on ne doit pas se lancer dans le voyage vers la forme sans le gros bon sens. Donc, il ne faut faire d’excès en rien, c’est mieux pour la santé. Et, trouvez-vous un ami, trouvez-vous de la compagnie, c’est le meilleur moyen de vous motiver à sortir vous entraîner. En guise de conclusion à ce compte rendu, j’aimerais remercier Nicole pour ses bons conseils qui, si j’ai bien compris, nous permettent de nous maintenir autant en santé que de bonne humeur.

Texte de Carol BELLEAU

Photos de Lorraine GALLANT


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